
Juan Diego Catalano, représentant de Leoluca Orlando, maire de Palerme, est intervenu lors de la journée Les chemins de la paix (22 septembre 2017) pour défendre « Des politiques structurelles fondées sur le droit et la citoyenneté pour répondre aux migrations » (disponible dans les Actes 2). Nous vous proposons…
Arielle Denis revient sur la campagne internationale pour l’adoption d’un traité d’interdiction de l’arme nucléaire, initiée avec succès par ICAN, prix Nobel de la paix 2017, auprès des Nations unies.

Ce 22 septembre 2017, la parole était donnée aux faiseurs de paix, à celles et ceux qui à partir du réel empruntent les difficiles chemins de la paix. Elles et ils viennent d’Europe : de Palerme et Londres, de Croatie, d’Allemagne, d’Irlande aussi, en duo avec la Colombie. De Palestine et d’Israël, ces femmes du forum des familles endeuillées, disent leur espérance d’une paix possible.

Conférence-débat organisée en partenariat avec la revue Recherches internationales et l’IRIS (17 novembre 2016).

La fondation Gabriel Péri est partenaire de la conférence mondiale pour la paix et le progrès qui s’est tenue le mercredi 1er juin 2016 à l’espace Oscar Niemeyer.

Rencontre avec Ghyslain Lévy, psychiatre et psychanalyste, écrivain, qui fait partie de celles et ceux qui questionnent la notion même de progrès technique et de paix.

A l’occasion de la réédition de son livre paru en 1976, La géographie ça sert, d’abord, à faire la guerre, augmenté d’une préface inédite et de nouveaux commentaires, Rencontre avec Yves Lacoste, géographe, fondateur de la revue Hérodote, l’auteur notamment, de Unité et diversité du tiers monde (Maspero, 1980), du Dictionnaire de géopolitique (Flammarion, 1996), ou…

La Fondation a été partenaire du Colloque international organisé par l’association Au nom de la mémoire et la Ligue des droits de l’Homme, le 15 octobre 2011, à l’Assemblée Nationale. Le 17 octobre 1961, plusieurs dizaines de milliers d’Algériens ont manifesté pacifiquement dans Paris contre le couvre-feu discriminatoire imposé par le préfet de police Maurice Papon. Ce jour-là et les jours qui suivirent, des milliers de manifestants furent arrêtés, victimes d’extrêmes violences. Il y eut plus d’une centaine de morts et des milliers de refoulements arbitraires vers l’Algérie. Que peut-on dire aujourd’hui de la connaissance de ces événements qui furent l’objet, pendant longtemps, de dissimulation et de dénis?
