Lundi 9 décembre 2024, dans les locaux de la CGT à Montreuil (salle B2, noyau B)
Entre les travailleurs et les employeurs, les luttes sur la manière de décompter le temps de travail sont historiques. Elles reviennent au premier plan, et invitent à identifier les continuités et les reconfigurations de cette bataille du temps : paiement au résultat ou au temps passé, débordement du travail sur la vie privée, intensification de l’activité, reconnaissance du temps de formation par les qualifications et le salaire…
Première session, présidée par Paul Devin, Président de l’Institut de recherches FSU.
Mot d’accueil, par Gilbert Garrel, président de l’Institut CGT d’Histoire Sociale.
Introduction: Stéphane Bonnéry, directeur de La Pensée, et Alain Obadia, Président d’honneur de la Fondation Gabriel Péri
-
- Du paiement à la pièce au salariat, par Jérôme Beauvisage, IHS CGT.
- Du temps long des diplômes à la péremption des compétences, par Fabienne Maillard, Professeure en sciences de l’éducation, CIRCEFT-ESCOL, Université Paris 8.
- Les aides à domicile face au contrôle de leur temps de travail : résistances individuelles et collective, par Sophie Béroud, Professeure de science politique, UMR Triangle, Université Lumière Lyon-2.
- Discussion avec la salle.
Seconde session, présidée par Gilbert Garrel, président de l’Institut CGT d’Histoire Sociale
-
- La sous-traitance et la pression sur le temps et le travail morcelé, par Laurence Lizé, Maîtresse de conférences en économie, Centre d’économie de la Sorbonne-CES
- RTT et intensification du travail pour les Ingénieurs, Techniciens et Agents de Maîtrise, par Jean-François Bolzinger, IHS-UGICT
- Enseigner et apprendre : des contraintes temporelles exacerbées, par Stéphane Bonnéry, Professeur en sciences de l’éducation, CIRCEFT-ESCOL, Université Paris 8
- Discussion avec la salle
Co-organisée par La Pensée, l’Institut d’Histoire Sociale de la CGT et l’Institut de Recherches de la FSU