Des États-Unis, de la République démocratique du Congo, du Japon, de la coalition internationale pour l’interdiction de l’arme nucléaire, l’ICAN (Prix Nobel de la paix 2017), au Mouvement de la paix, à la CGT, l’Initiative Féministe Euro-Med IFE-EFI et Amnesty international, ils et elles disent leur engagement pour les droits, la justice et l’égalité, la lutte contre les armes légères et nucléaires, et contre la militarisation de l’Europe et du monde, pour la défense d’un droit universel à la mobilité et une politique d’accueil fondée sur la citoyenneté, pour la mise en oeuvre de processus politiques inclusifs dans les zones de conflits.
Toutes et tous nous disent que jamais rien n’est écrit d’avance et que céder au fatalisme, c’est céder à ceux qui veulent faire la guerre. Ce que confirment, en 2018, dans leur intervention aux auditions du séminaire, Jean-Paul Chagnollaud, Monseigneur Marc Stenger, Gérard Astor et Adel Habbassi, Rony Brauman et Jean-Paul Vienne.
Si la paix demeure toujours fragile, leur détermination et leur espérance sont le signe qu’oeuvrer pour elle participe de notre émancipation à tous.
Ces actes 2 du séminaire : « Construire la paix, déconstruire et prévenir la guerre », ouvert depuis 2017, rassemblent leur contribution.
Le séminaire est coordonné par Fabienne Pourre et un groupe de travail constitué de Chrystel Le Moing, Daniel Cirera et Daniel Durand.