Mais pour lui, et c’est le mérite de cette note, il ne peut s’agir, à l’heure de la mondialisation, de s’enfermer dans les limites restreintes des territoires. Il doit y avoir, nécessairement, un mouvement permanent du local au mondial et réciproquement. Et il nous montre, avec à l’appui de nombreux exemples, les potentialités d’une telle approche ; l’essor de la démocratie qui peut en résulter ; la meilleure efficacité sociale qui peut en découler.
Alors que le gouvernement s’apprête à imposer une réforme des collectivités territoriales particulièrement régressive, Jean-Claude Mairal propose des pistes pour y résister, et pour relever les défis de la mondialisation au bénéfice des territoires et des populations qui y vivent.